Résumé : Les notions d’héritage darwinien ou de transmission textuelle (J. Kristeva) éclairent le travail de la paraphrase, du plagiat ou du pastiche qui se fait chez Malcolm Lowry à partir de sources variées : livres scolaires de géométrie, d’histoire naturelle, écrivains et poètes. L’analyse de lettres et de poèmes éclaire la façon dont l’œuvre lowryenne se tisse en absorbant toutes sortes d’écrits, brouillons, journaux qui participent au processus d’individuation du jeune écrivain comme de ses textes.