Résumé : Cet article interroge les effets de l’intertextualité dans le Volcan où deux mécaniques s’opposent : l’une privilégie l’aléatoire ; l’autre, tragique, suggère une vision déterministe. L’étoilement intertextuel et les ramifications signifiantes ouvrent sur des interprétations allant contre une lecture paranoïaque du monde. Le jeu de bascule entre monologisme tragique et dialogisme carnavalesque pose la question de l’engagement entre humain et inhumain, sens et non-sens, et entre texte et lecteur.