Résumé : Voltaire traite avec un égal mépris la Fronde et les mémorialistes, les mémoires étant le lieu d’une pratique myope de l’historiographie, engluée dans les intérêts partisans et incapable de prendre de cette hauteur qui, pour le chantre du règne de Louis XIV, caractérise le grand roi, en même temps qu’elle caractérise l’historien qui lui offre à titre posthume le monument du Siècle.