Résumé : Cet article étudie la présence d’Henri Corneille Agrippa, et notamment de son De incertitudine, dans les Dialogues des morts d’un tour nouveau de Nicolas Gueudeville (1709). Il entend ainsi contribuer à une certaine réévaluation de ces dialogues, par la mise en évidence d’effets proprement littéraires, qui s’organisent en partie autour de la figure d’Agrippa et témoignent d’une compréhension plutôt rare de l’humanisme renaissant.