Résumé : Dans sa réflexion condamnant le théâtre, Nicole met en évidence le rapport de la douceur avec le plaisir, et l’ambivalence de cette conjonction. Ainsi les faux plaisirs du mondain naissant de l’exacerbation des passions et des vices s’opposent-ils aux plaisirs substantiels du chrétien se nourrissant de la parole de Dieu, la fausse douceur du spectacle théâtral et de son art de l’extériorité à la vraie douceur tout intérieure des vertus chrétiennes, patience recueillie, silence et humilité.