Résumé : En latin archaïque, l’on connaît les structures corrélatives quo magis... eo magis et quam magis... tam magis, correspondant aux constructions romanes Plus.. .(et) plus… ; Più... (e) più…, Màs… (y) màs. Il s’agit d’une structure en balance. Une autre corrélative est le magis correctivum (mais/sondern), NON X, MAGIS Y, qui opère par substitution et qui est proche de la disjonction, alors que le magis quantitativum (mais/aber) est une structure en balance qui se rapproche de la coordination connective.