Résumé : Une réflexion sur l’amitié et le poème à partir de motifs corporels et relationnels (la main, le cœur) que voix et rythme permettent de situer dans une anthropologie historique du langage où le tu devient l’interlocuteur d’une résonance infinie dont l’inconnu serait la manière de faire poème et amitié à la fois.