Résumé : Cet article propose une analyse critique de la notion d’“oralité”, agitée dans les avis liminaires de traductions récentes en français du Quichotte (Aline Schulman pour les Éditions du Seuil, Jean Canavaggio pour la collection de La Pléiade). Mieux cernée, la notion demeure un enjeu captivant pour évaluer et transposer certaines données de l’écriture cervantine.