Résumé : Autour de l’œuvre de Mathieu Bénézet (1946-2013), cet article explore le continu entre le langage et le corps en le mesurant notamment aux thèses lacaniennes. Il cherche à montrer comment le poète tente de lancer ou d’articuler de nouveaux modes d’écriture, de s’y faire un nom pour désespérément se faire un corps.