Résumé : Par le terme de « proselibrisme » (emprunté à Albert Thibaudet), il s’agit de montrer comment Mallarmé déplace dans le champ de la prose les effets de la crise de vers, en faisant en sorte que la prose elle-même (celle des Divagations) participe, plus encore que le vers libre, à l’individuation des formes de la langue.