Résumé : Cet article établit que le nuage est constitutif d’une poétique baudelairienne. En effet, dans le Spleen de Paris, le nuage s’associe à la rêverie. Il relève de l’indéfini, et suggère un je ne sais quoi. Le poème en prose peut se penser comme un nuage, à la fois insignifiant et menaçant.