Résumé : Henri Meschonnic a fait d’une formulation du poète anglais Gerard Manley Hopkins, « le mouvement de la parole dans l’écriture » une pierre de touche de sa poétique. Lisant les poèmes de Hopkins et de Meschonnic, cet article étudie la manière, divergente, dont l’un et l’autre poète mettent en oeuvre le « mouvement de la parole ».