Résumé : L’attrait du cinéma est notable chez Houellebecq. Quand on replace ce tropisme dans le contexte de la littérature française contemporaine et des rapports actuels entre cinéma et roman, il peut être considéré comme révélateur d’une culture où l’audiovisuel occupe une place de plus en plus importante, et où la littérature s’adapte, non sans problèmes, à cette nouvelle donne.