Résumé : Pris isolément, les objets d’Alain, dans Le Feu follet, sont des miroirs qui réfléchissent l’image d’un moi en train de se défaire. La collection d’objets, en revanche, constitue un microcosme. La valeur autoréflexive de ces objets est donc double : ils renvoient à la fois au feu follet (le personnage) et au Feu follet (le roman) et reflètent une éthique et une esthétique déterminées par le sentiment de la décadence, qui condamne la littérature à la négativité.