Résumé : L’aimant, l’or et le verre structurent le processus d’écriture et l’imaginaire ronsardiens. Images miniaturisées et réflexives de l’œuvre littéraire, ils sont choisis pour leurs qualités naturelles, de magnétisme, de brillance et de transparence. Mais surtout ils appartiennent tous à une histoire mythique dont Ronsard raconte les péripéties. Produits transformés, œuvres de l’artisan, ils s’associent par analogie à l’activité du poète.