Résumé : Le cerceau de Louis Bastide, qui parcourt les rues du Paris des Hommes de bonne volonté, est capable de réunir autour de lui les âmes éparses de la cité : en cela, il est pareil à la conscience narratrice et créatrice qui informe l’immense roman unanimiste de Jules Romains. Mais la circularité sans matière, ou presque, de ce jouet d’enfant dénonce l’inanité de la fiction, et le pessimisme de l’auteur, qui constate l’impuissance de la littérature à sauver le monde de la ruine.