Résumé : Toute l’œuvre de Raymond Roussel se lit comme une imbrication de miroirs et de surfaces réfléchissantes. Dans Impressions d’Afrique (1910), première application généralisée du fameux procédé roussellien, ce sont notamment deux machines, le métier à aubes et la machine à peindre, qui reflètent autant la formule esthétique que le corps désirant.