Résumé : Dans L’Isle sans nom, le Moi en tant que dissolvant ultra-puissant se découvre entouré d’un monde d’épithètes et d’attributs… Ce texte en fragments est une ébauche d’une comédie intellectuelle de la nomination, ou une grammaire pour la scène. On trouve également dans ces fragments, une satire du moi de la personnalité.