Résumé : « L’Homme sans nom » s’inscrit dans une série de « personnages conceptuels » (Deleuze et Guattari) auxquels il faut associer Descartes et M. Teste. En le privant de mémoire, donc de la « variable passé », Valéry augmente sa « variable possible ». Il faudra donc s’intéresser à ce jeu des possibles, jeu combinatoire d’un « je sans attributs », qui participe à la fois du nominalisme valéryen et d’un réalisme des relations qui priment leurs termes.