Abstract: La Chine, dans les œuvres poétiques, les essais et la correspondance de Victor Segalen, est une présentation paradoxale du divin dans l’espace de son retrait. Le savoir sinologique se substitue chez lui à une théologie désormais impossible, pour manifester sur le mode d’une poétique de l’étranger le fond d’occultation qui seul peut révéler dans la défaillance la possibilité du sacré.