Résumé : Au xviiie siècle abondent les pseudo-traductions, souvent porteuses d’une logique métafictionnelle qui réoriente la lecture et porte à questionner les règles sous-jacentes à la traduction littéraire et à en dévoiler le dynamisme historique. Cette attention pour la logique réflexive des pseudo-traductions, dans le paratexte et dans la fiction, permet ainsi d’approfondir et de nuancer les présupposés de la recherche actuelle quant à la fonctionnalité de ces textes.