Avant-propos
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : L’Idée française de l’histoire. Joseph de Maistre et sa postérité (1794-1854)
- Pages : 13 à 14
- Collection : Classiques Jaunes, n° 685
- Série : Essais, n° 7
- Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
- EAN : 9782406079552
- ISBN : 978-2-406-07955-2
- ISSN : 2417-6400
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-07955-2.p.0013
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 19/06/2018
- Langue : Français
Avant-propos
Ce livre a été commencé en 2000 à King’s College et à la Faculté d’histoire de l’université de Cambridge. Au cours des années suivantes, j’ai bénéficié de l’aide de plusieurs personnes. Ma plus grande reconnaissance va à Gareth Stedman Jones, dont les commentaires ont aidé le livre à prendre forme. À Paris, Francine Markovits m’a guidée et encouragée, partageant avec moi ses connaissances en philosophie. D’autres chercheurs m’ont aidé à parcourir le chemin de mes recherches, m’offrant des pistes, des références et des aperçus : Sylviane Albertan-Coppola, Keith Baker, Dan Edelstein, Kevin Erwin, Marta Fattori, Pierre Glaudes, Michael Kohlhauer, Jill Kraye, Jacques Le Brun, Malcolm Mansfield, Alexander Martin, Michael Sonenscher, Ryan Song, Benjamin Thurston, Dale Van Kley, et Cynthia Whittaker.
Je dois remercier tout spécialement Richard Lebrun, pour avoir partagé avec moi la richesse de ses connaissances sur Maistre et pour ce qui est maintenant plus d’une décennie d’encouragement et de collaboration. Ma gratitude la plus vive va à Quentin Skinner, dont les aperçus et le savoir m’ont aidée à des moments clés de mes recherches. Ce livre pécherait en outre sous plusieurs aspects sans la conversation de Jean-Yves Pranchère.
À la Bibliothèque nationale de Russie, l’orientation de Natalia Elaguina fut d’une importance capitale ; et au Musée historique de Moscou, Alexandra Kukushkina et Fyodor Petrov m’ont généreusement offert leur aide. Je suis aussi reconnaissante au personnel de la Faculté d’histoire de Cambridge, surtout Liz Haresnape.
Je remercie vivement l’Académie britannique ; Wolfson College à Cambridge et la Faculté d’arts de l’université de Groningue pour les bourses postdoctorales qui m’ont permis de rédiger une grande partie de ce livre. Je remercie également King’s College à Cambridge, pour son soutien financier ; ainsi que le Fonds Ferris, le Fonds Lightfoot, le Fonds Prince Consort et Thirlwall de la Faculté d’histoire de Cambridge, pour 14avoir rendu mes recherches en France possibles et pour m’avoir permis d’acquérir des matériaux essentiels.
Toute ma reconnaissance, enfin, va à Philippe Barthelet, dont le long et patient travail de révision a été extrêmement précieux à la mise au point de la version française de ce livre.