Résumé : Cet article interroge les relations qui unissent les littératures légitime, populaire et scolaire dans l’enseignement primaire au xixe siècle. À la communale, la littérature n’est pas une matière d’enseignement. Comment l’école du peuple rend-elle l’enfant apte à recevoir la littérature ? La lecture permet une intériorisation de valeurs morales et esthétiques. Le lien entre la culture scolaire primaire et la littérature populaire est lui aussi examiné.