Résumé : Dès les années 1870, on assiste, chez les poètes, à une même consommation festive de la chanson qui se développe dans toute la société. Dans ce contexte, la chanson de cabaret apparaît à ceux qui suspectent les crispations de l’avant-garde comme un modèle de communication lyrique – qui s’oppose à la fois à l’hermétisme d’une certaine poésie savante et à la vulgarité de la chanson de consommation.