Résumé : Est abordée ici la question de la retraite et de la disgrâce du chancelier Michel de L’Hospital sous l’angle littéraire, humain et philosophique de la quête d’une vie pour soi et de la (re)conquête d’une liberté intérieure. Sont convoqués les modèles horatiens, pliniens, stoïciens et chrétiens pour examiner comment s’opère une conversion des motifs de la retraite champêtre et de l’ataraxie vers un idéal de vertu chrétienne et d’élévation spirituelle par la grâce.