Résumé : Cette conclusion présente un bilan : les chanceliers et les chancelleries d’une part points de rencontre entre la république des Lettres et la res publica lors de la Renaissance, et d’autre part instruments permettant de considérer comme un ensemble les chanceliers des royaumes et ceux d’autres institutions, et ainsi de descendre aux niveaux inférieurs de l’humanisme au pouvoir tout en esquissant des comparaisons sur le plan européen et en prenant garde au risque d’une lecture trop italocentrée.