Résumé : Dans la Florence des guerres d’Italie, écriture de l’histoire et écriture de la politique tendent à se confondre pour former un type de savoir nouveau. Ce n’est pas le passé qui sert à lire le présent mais le présent qui entraîne une relecture d’un passé dont la compréhension sera d’une aide précieuse à l’analyse de l’histoire en train de se faire et à l’action politique afin de résister aux aléas de la guerre permanente.