Résumé : L’article interroge la valeur et légitimité de l’interprétation dans Vente à la criée du lot 49 et Las Vegas Parano, récits postmodernes de la perte, sapant, peut-être irrémédiablement, sa pertinence tout en en exprimant la nostalgie. Les drogues permettent ici une dénudation de mécanismes problématiques, une reductio ad absurdum de l’herméneutique, (mauvais) trip parmi d’autres.