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Classiques Garnier

Résumés

  • Type de publication : Article de collectif
  • Collectif : L’Exemplum virgilien et l’Académie napolitaine à la Renaissance. Itinera Parthenopea, I
  • Pages : 475 à 483
  • Collection : Rencontres, n° 348
  • Série : Lectures de la Renaissance latine, n° 11
  • Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
  • EAN : 9782406073154
  • ISBN : 978-2-406-07315-4
  • ISSN : 2261-1851
  • DOI : 10.15122/isbn.978-2-406-07315-4.p.0475
  • Éditeur : Classiques Garnier
  • Mise en ligne : 27/06/2018
  • Langue : Français
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RÉSUMÉS/ABSTRACTS



Gianluca DEL NocE, «L'art du poète et la folie des grammairiens. La défense de Virgile dans le dialogue Antonius de Giovanni Pontano »
I:auteur analyse une section en prose du dialogue de Pontano Antonius (1491), nommé en hommage à Antonio Beccadelli et consacré aux attaques des grammairiens contre les poètes et les prosateurs, classiques compris. Il s'arrête en particulier à la défense, par Elisio Calenzio, de la poésie de Virgile contre Favorinus d'Arles (connu d'Aulu-Gelle) et Macrobe pour éclairer cer- tains aspects de la poétique de Pontano sur la liberté du poète, l'imitation et la critique, réservée aux seuls poètes.
This study focuses on a prose .rection of Pontano's 1491 dialogue Antonius (a humage to Antonio Beccadelli) dedicated to the grammarians' attacks against poets and prose-writers, classics included, and particularly focuses on Elisio Calenzio's defence of Virgilian poetry against Favorinus of Arles (known to Gellius) and Macrobius, thus highlighting nome aspects of Pontano's poetics on the poet's freedom and on imitation as well as on literary criticism, that only poets may exercice.

Luigi FERRERI, « Aulo Giorno Parrasio interprète de Virgile. Quelques éléments de réflexion »
Après quelques réflexions sur l'exégèse de Virgile chez Parrasio pour en jauger la solidité philologique et préciser le sentiment de l'humaniste sur l'imitation, cette étude examine des exemples du style et de la langue de Virgile et s'arrête aux sources relatives à cette exégèse connues à ce jour dans l'oeuvre de Parrasio. Puis elle se concentre sur ses commentaires sur l'Arc poetica d'Horace et sur le De raptu Proserpinae de Claudien mais aussi sur son propre De rebus per epistolam quaesitis.
After nome reflections on Aulo Giorno Parrasio's exegesis of Virgil to appreciate the value of imitation to hic eye and the philological consistency of this exegesis, this study both reviews nome examples of Virgil's style and language and examines the sources
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pertaining to Virgilian exegesis known so far in Parrasio's literary production, to even- tually focuse on his commentaries on Horace's Ars poetica, on Claudianus' De raptu Proserpinae and on his own De rebus per epistolam quaesitis.

Marc DERAMAIX, « "Synceromastix nescio quis". Théorie et pratique de l'exemplum vrgilien chez Sannazar dans sa correspondance et dans le De pattu Virginis »
L'imitation de Virgile est l'un des sujets des quatre lettres que Sannazar envoya en 1521 à quelques amis à Rome pour qu'ils l'aident à réviser son De pattu Virginis (1526). Dans ses observations lexicologiques, ses propos sur sa ratio imitandi éclectique et sur la uarietas comme sur son art de l'hexamètre en accord avec l'Actius de Pontano, le lecteur du De pattu Virginis et de ces lettres jamais commentées peut distinguer un mode napolitain et un mode romain de l'imitation de Virgile.
Sannaxaro's imitation of Virgil is here examined in four autocritical letters he sent in 1521 to some friends in Rome to help him revise his De pattu Virginis (Naples, 1526). Through observations on lexicology, on his ratio imitandi and uarietas, on the art of hexameter in keeping with Pontano's lesson in the dialogue Actius and on his eclectic conception of imitation, the reader of both his opus maximum and of these letters distinguishes a Neapolitan and a Roman mode of Virgilian imitation.

Georges TILLY, «L'imitation de Virgile dans le De hortis Hesperidum de Giovanni Pontano. Pratique et théorie du modèle unique à l'aube du xvl~ siècle »
Cet article affronte la question de l'imitation stylistique de Virgile chez Pontano en s'arrêtant au livre I de son dernier poème, le De hortis Hesperidum (Venise 1505), qui se mesure aux Géorgiques et recèle le dernier état de la pen- sée de l'humaniste sur l'imitation. I:analyse prosodique et métrique comme l'examen des citations et des traits stylistiques révèlent un commentaire implicite des Géorgiques. Une typologie des données de l'imitation suit une conclusion sur sa méthode de composition.
This paper deals with the Virgilian stylistic features in Pontano and focuses on book I of his last poem, De hortis Hesperidum (Venice 1505), which emulates the Georgics and embodies the humanist's ultimate view on imitation. An accurate analysis of Pontano, hereby accounted according to prosodic and metrical data, quotations and
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stylistic figurer, reveals his implicit commentary of the Georgics. A conclusion on his method of composition sketches out a brief typology of imitation data.
Carmela Vera TUFANO, « Presenza di Virgilio nel carme Gratulatio pro victoria serenissimi regis Castillae di Gabriele Altilio»
Gabriele Altilio est mieux connu pour les hommages littéraires que lui rend Pontano dans ses vers que pour ses propres oeuvres, quoique importantes pour l'assiette littéraire de l'académie pontanienne. Aussi s'intéresse-t-on chez lui à la description de feux d'artifice donnés à Naples pour célébrer la recon- quête de Grenade, modelée sur l'Énéide, II :l'incendie de Troie sert à décrire ces feux napolitains et fournit aussi un ton épique propre à la célébration de la dynastie aragonaise.
Gabriele Altilio is known more for the literary homages Pontano paid to him in his verses than for his own works, though an important moment of the Pontanian Academy's literary achievements. This paper focuses on the description of a firework display that took place in Naples to celebrate the reconquest of Granada, modelled after the Aeneid, II: Troy on Eire is reshaped to describe the Neapolitan fireworks and thus provide, too, the epic tune to praire the local Aragonese dynasty.

Lorenzo MILETTI, « "Tacitis regnavit Amyclis". Francesco Peto da Fondi su Virgilio Aen. X 563-564»
Une élégie de Peto da Fondi, ami de Pontano, fait l'éloge d'Ettore Fieramosca, noble de Capoue vainqueur des Français à Barletta en 1503, et comprend une enquête érudite sur Amyclae, la colonie spartiate du Latium méridional mentionnée par Virgile (Aen. X 564). Suivant le commentaire de Servius, Peto le révise pour affirmer que Fondi, sa ville natale, fut fondée par les habitants d'Amyclae après sa destruction.
An elegy by Francesco Peto da Fondi, a Pontano's friend, is an encomium of the Capuan nobleman Ettore Fieramosca who defeated the French at Barletta in 1503 but it also comprehends an erudite antiquarian inquiry on Amyclae, the Spartan colony in southern Latium mentioned by Virgil in Aen. X 564. Following Servius' commentary Peto revisits this mythical account to assert that the inhabitants of des- troyed Amyclae had founded his hometown Fondi.
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Hélène Cnsnrrovn-Rosny, «Laar Virgiliana et invention mythologique. L'élégie Eridanun I, 14 de Giovanni Pontano ou la célébration d'un poeta fortunatun »
Dans l'élégie I. 14 du recueil intitulé Eridesnun, Pontano invente un récit étiologique sur la naissance de Virgile. Cette étude montre qu'au-delà de la célébration du poète de Mantoue l'humaniste nous offre sous le voile du mythe une reflexion achevée sur le destin. La comparaison de cette élégie au traité De fortunes du même auteur permet de donner tout son relief à sa méditation sur le génie poétique et, plus généralement, sur l'existence.
In the elegy I, 14 of hin collection entitled Eridanus, Pontano deviner an etiological tale about Virgil'n birth. The ntudy aima at demonntrating that, beyond the celebration of the Mesntuesn poet, the humesnint delivern under the oeil of myth es fully developed reflection on dentiny. The confrontestion of elegy I, 14 with hin treestine De fortuna esllown to dintinguinh thin meditestion on poeticesl geniun esnd, more genereslly, on exis- tence thest thun findn esn exceptionesl illuntrestion.

Antonietta Incolvo, « L'esordio del De hortin Henperidum di Giovanni Pontano tra riflessioni teoriche e prassi della ricezione dei modelli »
Cet article consacré au De hortin Henperidum (encomiastique dans sa pré- face, géorgique à propos de la culture des agrumes, mythopoïétique en forme d'epyllion à l'occasion) soutient que Pontano y reprit un poème inachevé sur la culture arbustive et trouve dans le mythe pontanien du cédrat né d'Adonis le coeur idéologique d'un poème fortement métapoétique, où l'imitation de Virgile s'accorde à l'éloge de Naples, vouée à la sapience.
This ntudy focunen on Pontesno'n De hortis Hesperidum (encomiesntic in itn dedi- cestion, didesnceslic with the cultivestion of titras, epyllic in itn mythopoienin), contendn thest he reelesborested es former unfininhed work on the cultivestion of nhrubn esnd thun identifier in the pontesniesn myth of the titras bons from Adonis the ideologicesl tore of es poem with consistent metespoeticesl connotestionn, in which the imitestion of Virgil in in keeping with the dignificestion of es nespience fested Nesplen.
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Giuseppe GERMANO, « Allusioni virgiliane nell' Urania di Giovanni Pontano »
Les Géorgiques sont le modèle structurel et stylistique de l' Urania de Pontano, qui loue Virgile comme geniur loci du chant de Pontano dans son domaine du Pausilippe mais aussi comme protagoniste d'un mythe qui le vouait à vivre à Naples et que Pontano reproduisit dans sa propre jeunesse. Clef de voûte d'un système littéraire et idéologique propre à la poésie latine humaniste, Virgile est aussi, dans le prologue du livre V, le moyen de réinventer la source homérique de toute poésie.
The Georgics ir the structural and rtylirtic model in Pontano'r Urania, which praires Virgil not only ar genius loci of Pontanur' ringing in hir ertate on Porillipo but alro ar the protagonirt of a myth on hir being dertined to live in Naples, a dertiny reiterated by Pontano centuries lester. Keyrtone of a literary and ideological ryrtem within Latin humanirtic poetry, Virgil ir moreover enviraged in the proemium of book V ar the medium to the reinvention of the homeric source of all poetry.

Giancarlo ABBAMONTE, «Accademia, lessicografia ed esegesi virgiliana nel De prircorum proprietate uerborum di Giuniano Maio »
Bien que Napolitain, l'humaniste Giuniano Maio ne loue pas Virgile dans son lexique De prircorum proprietate uerborum (Naples, 1475) et tire ses citations de ce poète de Servius, de Nonius, d'Aulu-Gelle et de Macrobe ainsi que de Tortelli son contemporain. Cette dépréciation de Virgile est aussi perceptible dans la postface où Maio dit sa préférence pour Stace, dont les origines napo- litaines, favorablement vues des rois de Naples, venaient d'être attestées par la nouvelle circulation des Siluae.
Though a Neapolitan humanirt, Giuniano Maio not only doer not praire Virgil in hir lexicon De priscorum proprietate uerborum (Naples, 1475) but deriver hir quotationr from thir poet from Servius, Nonius, Gelliur, Macrobiur and the contemporary Tortelli. Such a devaluation of Virgil ir perceivable, too, in the portrcript where Maio mater hir preference for Statiur ar a poet whore Neapolitan originr, welcomed by the kingr of Naples, had been recently tertified in the anew recirculated Siluae.
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Michele RINALDI, « "Nec vero terrae ferre omnes omnia possunt': Pontano, Virgilio e l'origine celeste della divinazione naturale e dell'ispirazione poetica»
Si les Astronomica de Manilius et les Matheseos libri de F. Maternus figurent parmi les sources de Pontano astrologue, cet article analyse comment cet humaniste tourna en apologie la polémique de Cicéron dans le De divinatione et commenta le Centiloquium du pseudo-Ptolémée en voyant dans l'influence astrale la source de la divination naturelle et de l'inspiration poétique. Un appendice offre une édition et une traduction italienne des livres I et IV de ce commentaire.
If Manilius' Astronomica and F. Maternus' Matheseos libri are among the sources of Pontano's astrology, this paper focuses on his turning Cicero's polemics in De divinatione into an apology and examines the humanist's commentary on pseudo- Ptolemy's Centiloquium in which the astral influence is considered the source of both natural divination and poetic inspiration. An edition and an Italian translation of Pontano's Commentaries on ps.-Ptolemy's Centiloquium I and IV are given in appendix.

Guido Maria CAPPELLI, « Tre schede (e qualche osservazione) Sulla presenza di Virgilio nella letteratura politica aragonese»
L'importance de Virgile dans les arts et dans la politique à la Renaissance italienne peut être soumise à une enquête théorique et idéologique sur son usage spécifique dans la pensée politique humaniste. I:auteur analyse ainsi les vers du poète rencontrés dans les traités politiques de la Naples aragonaise pour classer les modes de leur citation et éclairer leur assiette idéologique comme les raisons pour lesquelles les emploient des auteurs tels que Pontano, Francesco Patrizi ou Giuniano Maio.
Virgil's artistic and political general value for the Italian Renaissance might undergo a precise theoretical and ideological evaluation in keeping with its specific use in humanist political thought. This study aims at analysing the poet's verses found in Aragonese Neapolitan political treatises to classify the various types of their quotation and, thus, shed light on their ideological asset as well as on the reisons for their use by authors litre Pontano, Francesco Patrizi or Giuniano Maio.
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Émilie SÉRIS, «L'imitation de Virgile dans l'Erotopægnion et les Eclogæ de Girolamo Angeriano »
Les loci virgiliens les plus imités par Girolamo Angeriano sont les Buc. II, VII, VIII, XI et l'Én. I et IV et il évolue d'une imitation allusive et spectaculaire dans son Erotopagnion vers une autre, plus stylistique, dans ses Eclogae, où Virgile est associé à son modèle Théocrite comme à son imitation contemporaine dans les Eclogae de Pontano et les Eclogae piscatoriae de Sannazar, façon pour Angeriano d'affirmer son appartenance à un cercle bucolique qui est sans doute l'académie pontanienne.
Virgil's mort imitated loci by Girolamo Angeriano are Buc. II, VII, VIII, XI and Aen. I and IV but an evolution is to be noticed from an allusive, dramatic imi- tation in his Erotopaegnion to a more stylistic one in his Eclogae, where Virgil is associated to his own model Theocritus as to his contemporary imitations in Pontano's Eclogae and Sannazaro's Eclogae piscatoriae, a claim of Angeriano's belonging to a circle of bucolic poets that is most likely the Pontanian academy.

Tobia Raffaele Toscnlvo, « "Hic ego ludentem patulce sub tegmine fagi / Tityron audiui carmins cornigerum". Giano Anisio alla scuola di Virgilio»
Giano Anisio, membre de la génération moyenne de l'académie ponta- nienne, commença sa carrière poétique à l'ombre de Pontano et de Sannazar, sous la domination espagnole. Parmi les genres poétiques qu'il aborda, il convient de prêter une attention particulière à six églogues incluses dans son recueil intitulé Varia poemata (1531) :elles témoignent d'un mélange parti- culier d'influences classiques et modernes, de Virgile à ses propres maîtres napolitains, Pontano et Sannazar.
Giano Anisio, a member of the Accademia Pontaniana's "mid" generation, started his poetic career under Pontano's and Sannazaro's shadow, once Naples under Spanish rule. Among the poetic genres and meters he experienced, a particular attention should be paid to six eclogues included in his collection entitled Varia poemata (1531): they testify to a peculiar blending of classical and modern influences ranging from Vergil to his own Neapolitan masters, Pontano and Sannazaro.
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Adriana MAURIELLO, « Il destino di un genere. L'Egloga a Napoli da Sannazaro a Berardino Rota»
Partant de l'Arcadies et des Eclogae piscatoriae de Sannazar, cet article réca- pitule l'histoire de la bucolique en langue vulgaire en Italie aux xvl~ siècle en éclairant la façon dont l'héritage de ce poète se mêle à d'autres genres littéraires. Il s'arrête à deux poètes de l'aire napolitaine, le courtisan Luigi Tansillo, qui fait se rencontrer l'églogue et le théâtre, et Bernardino Rota, qui à l'exemple de Sannazar transforme la bucolique en piscatoria, forme dernière d'une longue histoire.
With Sannazaro's Arcadies and Eclogae piscatoriae as a departure point, this essay recapitulates the story of the vernacular bucolic in Italy during the sixteenth century highlighting the ways in which the poet's legacy is mingled with other lite- rarygenres. It dwells on two poets belonging to the Neapolitan arec, the courtly Luigi Tansillo, who had the eclogue meet drames, and Berardino Rota, who in Sannazaro's wake turned it into a piscatorial foret, the culmination foret of an ancient story.

Roland BÉHAR, «L'onomastique bucolique dans la poésie de Garcilaso de la Vega. Le modèle de Virgile et des poètes de l'Académie pontanienne »
Durant son séjour dans la Naples vice-royale, Garcilaso de la Vega voulut se faire l'héritier castillan de la muse bucolique de Virgile, de Pontano et de Sannazar. La critique a montré qu'Elisa, la dame célébrée dans l'Eglogue III de Garcilaso, rappelle l'Eurydice de la Géorgique IV de Virgile et Androgeo dans l'Ecloga IV de l'Arcadies de Sannazar. Mais il faut aussi dans cette translatio s'intéresser à Ariadna dans l'églogue Meliseus de Pontano comme à l'églogue Meliseseus de Giano Anisio.
During his stay in vice-royal Naples, Garcilaso de la Vega aimed est becoming the Castilian heir to Vergil's, Pontands and Sannazards bucolic Muse. As shown by critics, the celebration of the poetical beloved Elisa in Garcilaso's Third Eclogue recalls of Eurydice in Vergil's Georgics IV and of Androgeo in Sannazaro's Arcadies (Ecloga IV). But attention should also be paid in this translatio to Ariadna in Pontano's Meliseus and, perhaps, to Giano Anisio's Meliseseus.
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FranCl$CO Javier EscoBÀx BORREGO, «ReJtituti0 eremiticae vitae et rtudia divinitatir. Nuevos datos sobre Pedro Espinosa y et Conde de Niebla (con GSngora y la estela de la poesla cuita in mesrgine) »
Dans le sillage de GSngora et offertes au Conde de Niebla, les Soledesder et le Retrato de Pedro Espinosa s'entendent mieux si leur forme d'otium religiorum dans une retraite arcadienne est rapprochée de la vie érémitique et mondaine de ce gentilhomme à Sanlûcar de Barrameda, à l'exemple de son père Don Alonso Pérez de Guzmân qui, avant sa mort en 1615, réunit des humanistes sévillans en un cercle spirituel avec un oeil sur l'Arcadie de Virgile et un autre sur l'académie napolitaine sous Pontano.
In the weske of Gdngores and dedicested to the Conde de Niebla, Pedro E.rpinores'.r Soledades and Retrato are bettes underrtood if their foret of otium religiosum in an arcade retreat i.r read in keeping with thi.r nobleman'.r both hermitical and mundane life in Sanlûcar de Barrameda, esfter the exesmple of hir festher Don Alonso Pérez de Guzmdn who, before hir deesth in 1615, gesthered .revilliesn humesni.rtr in es .spiritual circle with esn eye to Virgil'.r Arcadies and to thest of Naples escesdemy under Pontano.