Résumé : Cet article analyse le mécénat littéraire exercé au temps de Charles II par les nouveaux nobles. Il s’agit d’évaluer si les dédicaces constituent un procédé généralement employé par les auteurs et les éditeurs pour chercher à transmettre une image idéale de ces lignages récemment anoblis et de déterminer si pour ces familles la subvention économique était envisagée comme un réel investissement social. Les cas analysés montrent la diversité des rapports des nouveaux nobles avec l’ouvrage imprimé.