Résumé : La guerre de Crimée, marquée par l’utilisation des navires à vapeur, des chemins de fer et du télégraphe, a été une des premières guerres modernes, aussi au niveau de l’information. Elle a impliqué le recours nouveau à des dessinateurs, photographes et reporters (war artists), alimentant une presse illustrée, favorisée par un développement technique. C’est dans ce contexte qu’a émergé une culture visuelle de transition entre d’anciennes façons de raconter la guerre, et des modes renouvelés.