Aller au contenu

Classiques Garnier

Table des matières

255

Table des matières

Introduction   7

De « mis en scène » à « mise en scène », histoire d’une substantivation (1789-1807)   13

La représentation théâtrale au prisme du politique   15

L’écrasement de l’illusion théâtrale par le référent
politique   18

La représentation comme outil d’actualisation du drame  20

La scène au cœur de l’écriture  22

La liberté des théâtres et le droit d’auteur  23

L’auteur : maître du spectacle ?  26

Les politiques s’approprient la scène   29

Le théâtre de l’urgence, ou la création
d’un langage scénique innovant   32

Où la « mise en scène » apparaît nommée   33

Le rôle des censeurs   35

Construire, par la scène, un autre monde   37

L’écriture du spectacle : une directive ministérielle   40

La mise en scène comme agent de l’écriture (1808-1829)  51

Le mélodrame : une grammaire scénique codifiée   55

Une écriture du mouvement  56

Les éléments scéniques, partie prenante
de la dramaturgie   60

Une « cure » à accomplir  63

Quand mettre en scène devient un métier   65

Le metteur en scène : un collaborateur   65

L’auteur-metteur en scène  68

256

La mise en scène : une « écriture » soumise au droit
d’auteur ?    70

L’exception Pixerécourt    73

Deux types de mélodrames pour la reconnaissance
du droit du metteur en scène    76

L’auteur, le régisseur et la mise en scène    78

Le directeur de la scène : un personnage-clé de la réforme « romantique »    81

Des corps et des images    82

Le réalisme : nouveau principe de l’esthétique
mélodramatique    84

Le Panorama-Dramatique, ou la peinture (comme)
mise en scène    86

Le décor : support de la réforme « romantique »    90

Le régisseur de la scène : du Boulevard aux théâtres
subventionnés    95

La mise en scène, ou le brouillage des catégories génériques (1830-1864)  113

La mise en scène selon les « romantiques »,
ou l’instrument du désordre   117

Un réseau de directeurs et de régisseurs favorables
au romantisme   118

Les mouvances d’une dramaturgie comme stratégie
de conquête   124

La Société des auteurs dramatiques : un moyen
de pression   131

Le romantisme comme esthétique scénique  134

La mise en scène appliquée aux « classiques »   141

Lorsque le discours critique s’empare de la question
de la mise en scène   145

La mise en scène romantique, ou la tragédie grecque
restaurée   148

La mise en scène comme outil historiographique  155

L’idée et la matière : l’art du poète et celui du metteur
en scène   158

257

Le matériel et l’immatériel (1865-1914)   167

La reconnaissance du metteur en scène comme métier   171

Le metteur en scène : premières tentatives de définition  172

Les coulisses de la création théâtrale  177

Les fonctions du metteur en scène   182

Le metteur en scène : sujet de vifs débats au sein
de la critique   188

L’autonomie de la mise en scène, ou l’émergence
d’une esthétique plurielle   193

Le législateur face à la question de la mise en scène  194

Le rôle de la SACD  196

Le combat pour la reconnaissance juridique du metteur
en scène  198

Les voies possibles d’une réforme théâtrale : l’imbroglio
de la critique à propos du naturalisme, du romantisme
et du mélodrame   202

Le Théâtre-Libre comme modèle   206

Conclusion   219

Bibliographie   227

Index des noms   245

Table des illustrations   253