Résumé : La tradition manuscrite de la Chronique urbaine de Montpellier, dont la complexité n’avait pas été prise en compte par les éditeurs du xixe siècle, a été l’objet d’une approche philologique renouvelée, menée en vue d’une édition TEI (Text Encoding Initiative) du texte. L’article expose les choix effectués dans le balisage électronique des codices et propose, à partir de cette étude de cas, une réflexion plus globale sur les enjeux philologiques de l’édition numérique des textes médiévaux.