Avertissement
- Type de publication : Chapitre d’ouvrage
- Ouvrage : L’Échiquier de Nature
- Pages : 11 à 11
- Collection : Recherches littéraires médiévales, n° 20
- Thème CLIL : 4027 -- SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES, LETTRES -- Lettres et Sciences du langage -- Lettres -- Etudes littéraires générales et thématiques
- EAN : 9782812449543
- ISBN : 978-2-8124-4954-3
- ISSN : 2261-0367
- DOI : 10.15122/isbn.978-2-8124-4954-3.p.0011
- Éditeur : Classiques Garnier
- Mise en ligne : 04/05/2016
- Langue : Français
Il y a une dizaine d’années nous avions analysé la composition échiquéenne des manuscrits des Eschez amoureux, en vers et en prose, en consultant principalement la version en prose, écrite vers 14001. On l’analysera ici à partir du poème en vers, antérieur d’environ vingt cinq ans à la prose. Précisons seulement qu’il ne s’agit pas d’analyse échiquéenne à proprement parler et qu’il n’est donc pas nécessaire de savoir jouer aux échecs pour suivre. Il ne sera pas tellement question de combinaisons échiquéennes mais plutôt de combinaisons de métaphores. On expliquera comment l’auteur du poème a révélé, à l’aide des mouvements des pièces, laquelle des trois déesses du jugement de Pâris le lecteur devait choisir pour bien mener sa barque dans l’existence.
1 Wilfrid Fauquet, « Le giu parti d’Évrart de Conty. Une version échiquéenne du Roman de la Rose », Romania, 123, 2005, p. 486-522.