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Classiques Garnier

Table des matières

1037

Table des matières

Abréviations    7

Abréviations    7

Abréviations des origines des sources en références    8

Unités    8

Équivalences métriques des unités anciennes    9

Introduction   11

PREMIÈRE PARTIE

DES BRIQUES DE PENSÉES TECHNIQUES

Pour une approche systémique
du phénomène technique   21

La pensée technique   22

La technique, un phénomène sociétal   22

Modes de pensée opératoire   26

Mise en œuvre de la technique   32

Savoir-faire et norme   32

Structuration de la technique   37

Les dynamiques des techniques   41

Invention et innovation   41

Circulation et évolution   47

Définition dun modèle conceptuel   51

Vers une analyse systémique   51

Axes détude et hypothèses   58

1038

Vers l« anthropologie »    63

Sources textuelles    63

Iconographie et archéologie    67

La tuile, de lanecdote au sujet    75

Des trouvailles hors ligne, 1850-1950    75

Travaux historiques, Paris et alentours    75

Premières approches matérielles    78

Travaux fondateurs, 1950-1980    82

Une timide réapparition    82

Développements annexes    86

Le temps des colloques, 1980-2000    90

De Saint-Omer à Vincennes    90

Études historiques    96

Lessor de larchéologie   100

Nouvelles méthodologies   104

Recherches récentes, 2000-2020   110

Des travaux sans synthèse   110

Recherches méthodologiques et contextuelles   118

La « littérature grise ». Rapports archéologiques   122

Les sites médiévaux   123

Une époque moderne en développement   126

Vers une archéologie contemporaine   130

DEUXIÈME PARTIE

UN SYSTÈME DE PRATIQUES

Des réseaux pour un complexe   135

Nourrir la bouche à feu    135

La bonne cognoissance du puits à glaise   135

La disette du Bois   146

Charbon de pierre et pompe à vapeur   151

Usé & defectueux : le matériel   156

1039

Un moule de bois, un rabot et une marguerite   156

Lhuisine à faire tieulles   168

Un bateau pour le Port aux tuiles   202

« Un peu de savoir-faire facile à acquérir »   212

Le bateur, le coupeur et le vangeur   212

Le maître de cuite   225

De botte, de loup ou de castor : les produits de la tuilerie   232

Conclusion du chapitre   256

Le tuilier, le client, et le marchand   257

De tuilier au mille à surintendant général   257

Le maître, le valet et le pourteux   257

Dans la plus grande stagnation ?   271

Toutes quantites quil conviendra : lentreprise   288

La vente, à défaut de vieille tuille   300

Les marchand(e)s de teiles   300

Y compris les droits : les détaillants parisiens   310

Quels produits, à quel prix ?   317

Louvrier de brique et lofficier   323

Enquerre comment un four est fais : les communes   323

Des invendus pour Versailles   328

Bien loin d être conformes : les travaux de Paris   334

Conclusion du chapitre   343

Des tuiles et des normes   345

Du modelle à luy donné et de pareille couleur    345

Des quarriaux pains et jolis    345

Carreaux de faïence : un espagnol à Poitiers   350

Brique, qui sera de huict poulces de longueur    355

Telle que le porte li ordonance    360

Fete au patron qui est en notre court    360

De boinne tiere fine pour tuile faire    367

Des tieuliers qui font faulces tieules    373

Des personnes bien instruites    381

Le seigneur, le thuilier de profession et lhabil mouleur   381

1040

Ladministration : le four ne peut porter lincendie   399

Un tuilier, son voisin, trois cerisiers et du persil   417

Conclusion du chapitre   429

Un système de pratiques

Conclusion   431

TROISIÈME PARTIE

RÉSEAUX DE TRAITÉS, RÉSEAUX DE PENSÉES

La description, ou ses variantes   435

Un hâle où l on fait la tuile, 1550-1760   437

Il faut faire comme l on peut    437

Tuile, ce mot est françois : lEncyclopédie   446

Un banc de six pouces : les planches de lEncyclopédie   457

Deux célèbres Ingénieurs, 1760-1800   464

Gallon et le bois   464

Fourcroy et le charbon   470

Tirer de la Description à peu près tout ce quil se dit   476

Instruire lêtre passif, en possession de la paresse   485

Faire voir, & enseigner ici une meilleure méthode    485

Instruit de toutes les branches de son art    492

Du travail, de la reflexion, et du courage    497

Conclusion du chapitre   501

Retranchements et incréments   503

Une revue de l Encyclopédie, 1800-1840   504

Un ouvrage où la science doit être tout    504

De l adresse et de l habitude    512

Presses et traces écrites   519

L histoire, la pratique et la théorie, 1840-1860   522

Dire quelque chose de neuf et d utile : Brongniart   522

La mécanique a peu de part à la fabrication française    531

1041

Les conseils de la science    535

Les résultats les plus récents, 1860-1870   538

Les meilleures machines   538

Du happement à la langue à lanalyse physique   541

Toutes les méthodes connues jusqu à ce jour    546

Conclusion du chapitre   549

De la pratique à la technique ?   551

Daprès Monsieur de Rothschild…   552

Donner du prix, en évitant la main-d œuvre    552

Dresser des ouvriers à faire des tuyaux    557

Faire passer la terre à travers un trou    563

Dans le domaine de l ingénieur des Mines    566

Un tronc de pyramide composée de briques    568

Il ne nous a pas été permis d en lever un plan exact    574

Un parallélépipède auquel il manque deux faces    580

Pour M. Brongniart, de la part de M. Gourlier   588

Une figure, je l ai prise    589

Membre du jury central de l Exposition     592

Quelques gens de ses amis    595

Conclusion du chapitre   600

Réseaux de traités, réseaux de pensées

Conclusion   601

QUATRIÈME PARTIE

INVENTER, PUBLIER, NÉGOCIER

Les prémices dune « technologisation »   605

Breveter la pratique   606

Le brevet Ollivier, avec lart nécessaire à la chose   606

Un procédé connu depuis longtemps   607

De la panne picarde à la tuile à coulisse   612

1042

Sextraire de lapperçu pratique   614

Obéir à la disposition de la loi    614

Les differentes piéces qui composent la machine    617

Le temps de la brique de cheminée   623

De louvrier intelligen à lingénieur mécanicien   627

Le ruban d argile sort du moule et l abandonne    627

Cabinet spécial pour l obtention des Brevets    637

Tuiles plates imperméables avec système d emboîtement    641

Conclusion du chapitre   647

Une tuile tous les dix jours   649

Un système complet de machines   649

Réunir les différentes opérations    649

À feu continu et par superposition    653

La tuile violon et ses cousines   659

De la crise de 1848…   662

Un creux marqué   662

Un repli sur la pratique   664

Des cavités nombreuses : la brique creuse Borie   666

… au pic de 1855   673

Lingénieur et le four tunnel   673

Une multitude de tuiles   680

Moules et filières   684

Conclusion du chapitre   689

Mobiliser le réseau sociotechnique   691

L exemple, la persuasion, lencouragement   693

Entrer au concours    693

Fabrication mécanique des tuiles, briques et carreaux    696

Exposition des produits de l industrie    702

Publier pour exister   708

Le Bulletin de la SEIN   708

Pour être rationnel, un four à briques doit être continu    713

De Mulhouse à Toulouse   722

La voie ténébreuse de la concurrence     734

Pour traiter, s adresser à M. Terrasson, inventeur     734

1043

Un Génie pour inventeurs    741

Parasite et déloyale     750

Conclusion du chapitre    759

Inventer, publier, négocier

Conclusion    761

Conclusion    763

Illustrations    783

Sources et bibliographie    795

Index des noms propres   1011

Index des lieux   1019