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Classiques Garnier

Table des matières

1055

Table des matières

Remerciements   11

Introduction   15

« Réception critique » : réception   16

« Archive » : archè, archivistique, archéologie   22

L’archivistique   23

L’archéologie selon Foucault   26

La critique mallarméenne
comme formation discursive   29

Archéologie de la « modernité »   31

« Réception critique » : critique   34

Questions posées à la postérité   35

Les chemins de « l’invention »   35

L’héritage littéraire   37

La « transcendance » du texte :
le Coup de dés transposé   40

première partie

Histoire archéologique :
la réception en discours

Première institutionnalisation :
l’exhumation (1897-1945)   51

La réception immédiate (1897) : silence et sidération   51

La disparition (1898-1910)   60

Le mutisme de l’institution littéraire   60

1056

Un néo-symbolisme
sans Coup de dés (1905-1910)   64

Le fil ténu de la tradition :
l’exception des Mardistes   65

L’invention (1910-1945)   77

Le premier groupe
de la Nouvelle Revue Française (1912-1914)   77

Le Coup de dés et les avant-gardes historiques
(1912-1931)   98

« Art et Action » (1919-1920)   182

Conclusion : un poème post-moderniste   205

L’institutionnalisation progressive (1913-1948)   216

La mémoire des Mardistes :
du témoignage au commentaire (1913-1936)   217

La vie littéraire :
commémorations, études et documents   235

Histoires du symbolisme, histoires de la littérature
et anthologies (1917-1947)   271

Les premières exégèses :
les défricheurs (1912-1948)   283

Conclusion : le tournant des années 1925-1930   334

La seconde institutionnalisation :
le temps de l’interprétation (1945-2007)   339

L’horizon du symbolisme :
S. Johansen et S. Bernard   339

S. Johansen :
une lecture para-structuraliste (1945)   339

S. Bernard :
une lecture philologique (1951/1959)   351

Une lecture psycho-critique :
Ch. Mauron (1948-1950)   364

DIgitur au Coup de dés :
la « seconde crise dépressive »   365

1057

DIgitur au Coup de dés :
un infléchissement   366

La structure du poème : « trois tableaux »   367

Le contenu manifeste : « chaos triomphant »
et « pessimisme intellectuel »   369

Mallarmé et Borel :
« le miracle des singes dactylographes »   370

Le contenu latent (I) :
l’Œdipe maritime et nécrophile   372

Le contenu latent (II) :
« le fantôme de la jeune Maria »   373

Critique archéologique   376

Deux monographies fondatrices : Cohn et Davis   381

R. Gr. Cohn :
le poème de « l’anti-synthèse » (1949-1951)   382

G. Davies : la dialectique
de la « Notion pure » (1953)   399

Le Coup de dés des critiques-écrivains :
Sartre et Blanchot   411

Sartre :
« rigoureusement existentialiste » (1947-1952)   411

Blanchot :
le poème du désœuvrement (1955-1959)   434

Trois lectures philosophiques :
Garcia Bacca, Hyppolite et Deleuze (1948-1962)   468

J. D. Garcia Bacca :
une lecture probabiliste (1945-1948)   468

J. Hyppolite : le Coup de dés
entre hégélianisme et cybernétique (1958)   470

G. Deleuze : le poème du « nihilisme » (1962)   479

Les nouvelles avant-gardes   492

Autour de la « poésie concrète » (1953-1968)   492

Butor et la « physique du livre » (1962-1968)   523

Tel Quel et Change   533

1058

Le renouveau des études universitaires (1957-2007)   588

J. Schérer :
introduction au « Livre » de Mallarmé (1957)   588

J. P. Richard :
« le jeu de la durée littéraire » (1961)   595

Mallarmé poète de la fiction   605

L’approche métrico-formelle :
L. Jenny (1998/2002) et M. Murat (2005)   650

seconde partie

transpositions : la réception en actes

Mises en image(s)   691

Arts plastiques   691

Illustrer   691

Démonter, remonter   716

Cinéma   751

Scénariser l’aléa :
courts-métrages surréalistes (1929)   751

Montrer la voix : J.-M. Straub, D. Huillet 
(« Toute révolution est un coup de dés », 1977)   762

Mise en scène :
la « polyphonie » selon « Art et Action » (1919/1942)   775

Mise en musique :
l’« œuvre ouverte » selon boulez (1950-1959)   783

D’un « formalisme » l’autre   784

Le « modèle » du Coup de dés ou le « hasard absorbé »   786

Mises en « concept » :
entre post-structuralisme et retour à Platon   795

Le champ de la théorie littéraire   795

1059

La critique de la notion d’« œuvre » :
Blanchot (1955-1969)   795

La critique de la notion de « discours » : J. Kristeva (1969-1974)   814

Le champ de la philosophie   842

Le Coup de dés,
matrice poétique de l’anti-idéalisme   842

La refonte mallarméenne du platonisme :
Badiou et le concept d’« événement » (1986-2004)   889

Mises en page   918

L’espace du livre : Massin, graphiste compagnon
du Coup de dés (1966-1968)   918

La surface de l’écran :
des « Rencontres Internationales de Lure »
au « Coup de dés télématique » (1982)   926

Le Coup de dés des typographes et des graphistes   932

conclusions

Bilan critique   945

Apories critiques   945

La question de la genèse   945

La question de la forme   952

La question du contenu   962

La question du statut   972

La question de l’édition   981

Perspectives critiques   985

Le coup de dés :
« legs en la disparition / à quelqu’un / ambigu »   989

Entre lieu et espace, aura et exposition   989

Institutionnalisation restreinte   991

« Noir sur banc » :
poème aporétique, poème épiphanique   995

1060

ANNEXES

Annexe 1
la réception du coup de dés en quelques dates   1001

Annexe 2
Le coup de dés interprété
par « Art et Action » (1919-1942)   1009

ANNEXE 3
le coup de dés selon Marcel Broodthaers (1969-1970)   1021

ANNEXE 4
le coup de dés au cinéma   1025

ANNEXE 5
Les séries typographiques du coup de dés   1031

ANNEXE 6
Les principaux travaux critiques   1033

Bibliographie du coup de dés   1035

Index nominum   1045