Résumé : L’ambition scientifique des Œuvres trouve dans les nuages un motif à la plasticité féconde. À la fois instruments de savoir et objets de science, ils structurent l’espace ronsardien en établissant une frontière visible, voire tangible, au sein de l’espace aérien, et entre le monde sublunaire et le monde supralunaire. Ils s’intègrent dans le fonctionnement météorologique du cosmos, dont ils rendent manifestes l’équilibre et l’unité.