Résumé : La contre-fable du lion, du renard et de la vieille femme (P, XV), qui célèbre les noces de la mouche et de la mousse, invite à plonger dans le royaume des muscinées, se prêtant aux jeux subversifs d’une érobotanique. Le brio bryologique rabelaisien transforme en fiction les défis philologiques liés à la mousse, ses vertus curatives (du gynécologique au pornographique), ses déclinaisons analogiques (vulpienne et capillaire) et techniques – la mousse calfatrice, métaphore du geste herméneutique.