Résumé : L’expression biblique « in bonam partem interpretari » se retrouve à plusieurs reprises dans le Gargantua et dans le Tiers Livre. Les traductions françaises qu’en donne Rabelais montrent de légères variations qui semblent en dire long sur l’évolution du rapport entre l’instance narrative et les lecteurs, notamment dans le contexte plus large du « pantagruélisme ».