Résumé : Grande admiratrice de l’œuvre de Maurice de Guérin, Marie-Thérèse Maiorana, professeur de Français en Argentine, écrit dans les années 1950 à l’abbé Decahors de l’Amitié guérinienne pour se renseigner sur un Doctorat autour de notre écrivain. Ayant reçu une réponse favorable, elle s’inscrit à l’Université de Toulouse et obtient son Doctorat en 1953. C’est ainsi qu’elle crée à cette date une branche de notre Société à Buenos Aires, où elle réunit chaque année des lecteurs fervents des Guérin.