Résumé : À l’instar de Rimbaud, Maurice de Guérin s’est baigné dans le poème… Sources, océan, fleuves ; il a écouté l’eau sous toutes ses formes, sous l’angle le plus romantique, quêtant quelque inaccessible patrie à partir de laquelle il aurait retrouvé sa nature divine. Il a entrevu l’abri qui apaise, la grotte où se soustraire au triste quotidien, entr’ouvert un monde édénique, et rejoint en rêve une mort mythologique propre à rédimer les errements de sa vie…