Résumé : Ce chapitre interroge l’inscription paradoxale de la danse dans le théâtre de Koffi Kwahulé. Loin de faire l’objet d’une exploitation chorégraphique, la danse y est rarement donnée à voir : présente et absente à la fois, elle est plutôt ensevelie dans les corps. Elle constitue un « envers dramaturgique » et introduit des éléments d’altérité profonde – au sein des personnages, de l’espace, du temps et de l’action – qui construisent les pièces par/à l’envers.