Résumé : Les dieux de Julien Gracq sont proches de ceux d’Alfred de Vigny : masqués, lointains, froids. Déchiffrer leur présence ambiguë au creux des cartes de l’Amirauté ou en surplomb du suicide d’Allan, c’est épouser la géographie du mal, et la soumettre à l’énergie de Vico… Qui tient la plume ? Le poète noir, qui nous guide en levant bien haut sa lampe.