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Classiques Garnier

Table des matières

639

Table des matières

Abréviations et Avertissement   7

Introduction   9

Reconstruire la communauté littéraire   10

Les réseaux autour de Paulhan.

Limportance des correspondances   15

Létude des revues   17

Quelle histoire littéraire des années 1950 ?   22

Une traversée à laveugle ?   24

PREMIÈRE PARTIE

LA CODIRECTION
MARCEL ARLAND / JEAN PAULHAN
ET LÉLABORATION
DE LA LIGNE ÉDITORIALE
DE LA NN.R.F.

Introduction à la première partie   33

Les étapes de la relance, des cahiers de la pléiade à la nn.r.f.

1946-1952   41

Marcel Arland et La N.R.F. avant 1942   42

Des années 1920 à la guerre   42

Arland pendant la guerre   46

640

Paulhan réticent face à lidée de la reprise.

Une revue selon son cœur : Les Cahiers de la Pléiade    48

Les ambitions des Cahiers    50

Le rythme de publication de la revue    53

La place faite à lArt brut    62

Léquipe : un point de jonction entre les anciens de La N.R.F.
et larrivée de nouvelles recrues    69

Quel bilan pour ces Cahiers ?    77

Vers la reparution de la revue    79

Les réserves exprimées par Paulhan    79

Le point de vue dArland    80

1952 : première esquisse de léquipe critique    86

Les débuts de la nn.r.f., de la relance au premier bilan

Quelle identité pour la revue ?    89

De la réconciliation à la « relève »    89

Le débat sur la réconciliation    89

Le premier numéro    97

La relève générationnelle   100

Larrivée dun jeune poète : Philippe Jaccottet   104

1953 : premier bilan   109

Un bilan sévère : la lettre de juillet 1953   109

Comment améliorer la partie critique ?   117

Nouveau bilan fin 1953   128

Des collaborateurs aux « procédés inamicaux »   128

Les insuffisances de la revue   131

Une critique récurrente.

La rubrique « Le Temps, comme il passe »   134

Une critique du manque dactualité de la rubrique   134

Les interventions dArland dans la rubrique
« Le Temps, comme il passe »   138

Une critique reconduite en 1957-1958   141

641

Les deux directeurs face à Gallimard

Une codirection de plus en plus houleuse   145

Le « front » Gallimard/Arland   145

La question de lindépendance de la revue   145

Arland, relais des critiques de Gallimard   148

Lincident du « Bulletin »   153

Les rubriques « de » Paulhan   158

La publication des écrivains compromis   164

La fin des années 1950 (début des années 1960).

Le différend se creuse   167

Bilan sévère dArland   168

Le déclin de la revue   172

Paulhan de plus en plus isolé   177

La place de la politique dans la revue   181

DEUXIÈME PARTIE

QUELLE IMAGE
DU PAYSAGE ROMANESQUE
DES ANNÉES 1950
DANS LA NN.R.F. ?

Introduction à la deuxième partie   201

Les ambitions de la revue   207

Les ambitions exprimées dans la correspondance   207

Une mise au point   207

Une hiérarchisation des romanciers   210

Les textes théoriques dans Les Cahiers de la Pléiade   213

Première chronique dArland
dans Les Cahiers de la Pléiade   214

Les chroniques dArland dans les numéros suivants   222

642

« Les Romanciers du Point du Jour », lunique chronique
de Dominique Aury dans Les Cahiers   226

Henri Thomas : un romancier N.R.F. ?   230

Léquipe chargée du roman   243

Le trio Aury-Paulhan-Arland   243

La chronique de roman : lhéritage dArland   243

Les critiques dArland dans La NN.R.F.   249

Les chroniques de Dominique Aury   259

Les notes critiques de Jean Paulhan / Jean Guérin   280

Les « noteurs » spécialisés dans la question du roman   287

Alain Robbe-Grillet et Georges Perros   291

François Nourissier   294

Autres chroniqueurs des premières années   299

Après 1954 : nouveaux entrants   306

Maurice Blanchot   309

Quel paysage romanesque ?   313

Dhôtel, Thomas et les écrivains de 84.

Une école insaisissable ?   314

Henri Thomas et les écrivains de 84 :
vers un effet de groupe ?   315

André Dhôtel. Le consensus NN.R.F.    323

Les écrivains du Nouveau Roman   332

Alain Robbe-Grillet :
un rôle prépondérant au sein de la revue   332

Nathalie Sarraute : le rôle dArland   336

Marguerite Duras : une présence discrète dans la revue   338

Butor : la fidélité à La N.R.F.    338

Claude Simon, Samuel Beckett et Robert Pinget :
une présence marginale   339

Le retour des romanciers davant la guerre.

Giono, Calet, Guilloux   343

Jean Giono   343

Henri Calet et Louis Guilloux   346

643

Audiberti, Devaulx, Mandiargues.

Les inclassables autour de Paulhan    350

André Pierre de Mandiargues   350

Jacques Audiberti   355

Noël Devaulx   359

La place des Hussards dans la revue   363

Les écrivains compromis.

Céline, Jouhandeau, Rebatet   367

Céline   367

Marcel Jouhandeau   385

Lucien Rebatet   397

Des relations ambiguës : Mauriac   416

Un écrivain mondain : Sagan   421

Un autre clan chez Gallimard : le cas de Boris Vian   422

TROISIÈME PARTIE

PAULHAN
ET LE JUGEMENT CRITIQUE

QUELLE CONCEPTION
DE LHISTOIRE LITTÉRAIRE ?

Introduction à la troisième partie   431

Le rôle de Paulhan dans la légitimation
de la littérature érotique dans les années 1950   435

Le contexte des années 1950   435

La redécouverte de Sade   437

La production érotique contemporaine   449

La place de la littérature érotique dans La NN.R.F.   460

644

Jean Paulhan face à la mutation
du champ intellectuel des années 1950

De Gide à Sartre   467

Lébranlement des repères   467

La mort de Gide   471

Les relations Paulhan-Gide   472

Le numéro dhommage à Gide (novembre 1951)   477

« Gide séloigne »   487

De Gide à Sartre   492

Lappartenance de Sartre à la famille N.R.F.   492

Léloignement intellectuel de laprès-guerre   496

La NN.R.F. et Sartre   504

Mesurer la valeur des œuvres

Quels critères du jugement critique ?   509

Le constat dune crise du jugement critique   509

Le parti de la « grandeur »   516

Contre la virtuosité facile   525

Chagall   525

Fautrier, Montherlant et Vlaminck : trois « virtuoses »   531

De la peinture à la littérature   535

Points de passage   535

Regarder et évaluer   547

Conclusion   555

Sources et bibliographie   563

Index des noms   621