Résumé : L’œuvre de Jean-Paul Michel invite à méditer le « statut fondateur de cérémonie et de sacrifice » du poétique, le désir de « placer l’être en face de lui-même » et de s’ouvrir ainsi « à la fraîche vigueur d’une relation audacieuse au poème » comme aux « surprises » et au feu de « ce qui est », qui s’y réfléchissent.