Résumé : Dans Planète sans visa (1947), le face à face entre un ancien militant bolchévik et un inquisiteur nazi fait écho au Zéro et l’infini d’Arthur Koestler et se conclut par la mort, geste ultime de rébellion. Dans Le Gaffeur (1953), Jean Malaquais transforme le discours de l’inquisiteur bureaucratique en une logomachie creuse, exorcisant la terreur totalitaire par l’humour.