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FILMOGRAPHIE

RÉALISATIONS

La Soirée

1963, inachvé / 8 min / 16 mm / Noir et blanc.

Réalisation, scénario : Jean Eustache (d’après la nouvelle Une soirée de Guy de Maupassant).

Image : Philippe Théaudière.

Scripte : Jeannette Delos.

Interprétatin : Paul Vecchiali, Jean-André Fieschi, Chantal Simon, Denis Epstein, Gérard Auffret, Aliette Guibert (Il est dit qu’André S. Labarthe et Jean-Louis Comolli devaient interprèter pour la partie non tournée).

Les Mauvaises Fréquentations

1963 / 39 min / 16 mm (gonflé en 35 mm) / Noir et blanc.

Réalisation, scénario, dialogues, montage, production : Jean Eustache.

Image : Philippe Théaudière, assisté de Michel H. Robert.

Musique : César Gattegno.

Régie, scripte, assistante : Jeanne Delos.

Chanson : Le P’tit Bal de quartier de Simone Réal.

Interpretation : Aristide Domenico (Jackson), Daniel Bart (son ami), Dominique Jayr (la jeune femme), Jean Eustache (l’homme en Renault 4), André Oumansky, Jeanne Delos.

Production : Films de Gion (Paul Vecchiali).

Sortie : le 7 juin 1967. Les Mauvaises Fréquentation est sorti conjointement avec Père Noël a les yeux bleus (1966), sous le titre général Les Mauvaises Fréquentations. Il a alors été rebaptisé Du côté de Robinson.

Présentation aux Festivals : en 1964, Festival d’Évian ; Festival de Paris.

Récompenses : Prix spécial du Jury et Prix des Cinémas d’art et d’essai, Festival d’Évian, 1964.

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Le Père Noël a les yeux bleus

1966 / 47 min / 35 mm / Noir et blanc.

Réalisation, Scénario et dialogue : Jean Eustache.

Image : Philippe Théaudière, assisté de Daniel Cardot, Daniel Lacambre, Nestor Almendros.

Son : Bernard Aubouy.

Mixage : Antoine Bonfanti.

Montage : Christiane Lack, Jean Eusatche.

Musique : César Gattegno, René Coll.

Assistant-réalisateur : Bernard Stora, Jeanne Delos.

Scripte : Aline Lecomte.

Régie : Jeanne Delos.

Interprétation : Jean-Pierre Léaud (Daniel), Gérard Zimmerman (Dumas), Henri Martinez (Martinez), René Gilson (le photographe), Carmen Ripoll (Martine), Noëlle Baleste (Janine), Jean Eustache (l’ancien boxeur), Jeanne Delos (la vendeuse dans la librairie), Michèle Maynard (la fille sur le banc), Maurice Domingo (Maurice), Rosette Mourrut (Rosette), Georges Riccio, Jaques Larson, Alain Derboy, Cendrine Carnero.

Production : Films de Gion (Paul Vecchiali), Anouchka Films (Jean-Luc Godard).

Distribution : Mac-Mahon Distribution.

Sortie : le 26 avril 1966, avec Incubus (1966) de Leslie Stevens ; le 7 juin 1967, avec Du côté de Robinson (1963), sous le titre général Les Mauvaises Fréquentations.

Présentation aux Festivals : en mai 1966, la Semaine de la Critique au Festival de Cannes ; en 1966, Mostra internazionale del Nuovo Cinema di Pesaro (Pesaro Film Festival).

Le film est dédié à Charles Trenet.

La Rosière de Pessac

1968 / 63 min / 16 mm (gonflé en 35 mm) / Noir et blanc.

Réalisation, montage : Jean Eustache.

Image : Philippe Théaudière, assisté de Jean-Yves Coïc, Daniel Cardot.

Son : Jean-Pierre Ruh, Alain Sempé.

Assistante à la réalisation et au montage : Françoise Lebrun.

Avec : Les habitants de Pessac, la Rosière, le maire, le Comité Civique, les anciennes Rosières du xixe siècle à 1967.

Production : Jean Eustache, Films Luc Moullet.

Distribution : Jacques Robert.

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Sortie : le 16 juillet 1969.

Diffusion télévisée : le 23 décembre 1968.

Présentation aux Festivals : en mai 1969, la Semaine de la Critique au Festival de Cannes ; en 1970, Festival international de cinéma de Prades.

Récompense : Prix du comité directeur, Festival international de cinéma de Prades, 1970.

Post-face au Dernier des hommes

1968 / 27 min / 16 mm / Noir et blanc.

Réalisation : Jean Eustache.

Assistant réalisateur : Rui Nogueira.

Avec : Marc’O, André S. Labarthe, Jean Domarchi. Ils discutent sur Le Dernier des hommes (1924) de F. W. Murnau.

Production : Institut Pédagogique National (IPN).

L’émission fait partie de la série Aller au cinéma.

Post-face à La Petite Marchande d ’ allumettes

1969 / 26 min / 16 mm / Noir et blanc.

Réalisation : Jean Eustache.

Assistant réalisateur : Rui Nogueira.

Équipe technique : Marc Terzieff, Jean-Lou Alexandre, Madeleine Cretolle, Marcel Olivier, Jean-Pierre Firmin, Claude Garnier.

Avec : Jean Renoir, Georges Gaudu. Renoir est interviewé au sujet de son film, La Petite Marcharnde d’allumettes (1928).

Production : Office français des techniques modernes d’éducation (OFRATEME).

Diffusion télévisée : le 23 mai 1969. L’émission fait partie de la série Rencontres.

Le Cochon

1970 / 52 min / 16 mm / Noir et blanc.

Réalisation : Jean Eustache et Jean-Michel Barjol.

Image : Philippe Théaudière (pour l’équipe Eustache), Renan Pollés (pour l’équipe Barjol), P. Meunier, G. Loreaux.

Son : Jean-Pierre Ruh (pour l’équipe Eustache), François Carré (pour l’équipe Barjol).

Montage : Jean Eustache.

Production : Luc Moullet, Françoise Lebrun.

Présentation au Festival : en 1971, Festival de Tours.

Sortie : mars 1975, avec L’Ordre (1973, 44 min) de Jean-Daniel Pollet.

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Numéro zéro

1971 / 112 min / 16 mm / Noir et blanc.

Réalisation, montage : Jean Eustache.

Image : Philippe Théaudière (intérieurs), Adolpho Arrietta (extérieurs)

Son : Jean-Pierre Ruh.

Avec : Odette Robert, Jean Eustache, Boris Eustache.

Production : Jean Eustache, Luc Moullet.

Présentation aux Festivals : en juillet 2002, Festival de Documentaire de Marseille ; en octobre 2003, Festival International du Documentaire de Yamagata.

La version de 54 minutes, remontée par le réalisateur, est diffusée sous le titre Odette Robert le 21 juillet 1980 sur TF1. Elle fait partie de la série Grands-mères de Jean Frapat.

La Maman et la putain

1973 / 217 min / 16 mm (gonflé en 35 mm) / Noir et blanc.

Réalisation, scénario, dialogues : Jean Eustache.

Image : Pierre Lhomme, assisté de Jacques Renard, Michel Cenet.

Son : Jean-Pierre Ruh, Paul Lainé.

Mixage : Nara Kollery.

Montage : Jean Eustache, Denise de Casabianca.

Assistante monteuse : Monique Prim.

Assistants réalisateurs : Luc Béraud, Rémy Duchemin.

Costumes : Catherine Garnier.

Scripte : Irène Lhomme.

Régie : Claude Bertrand.

Musiques et chansons : Ich weiß, es wird einmal ain Wunder gesche’n de Zarah Leander, Un souvenir de Damia, La Belle Hélène de Jacques Offenbach, Concerto for group and orchestra de Deep Purple, Falling in Love Again de Marlène Dietrich, La Chanson des fortifs de Fréhel, Requiem de Wolfgang Amadeus Mozart, Les Amants de Paris de Édith Piaf.

Interprétation : Jean-Pierre Léaud (Alexandre), Bernadette Lafont (Marie), Françoise Lebrun (Véronika), Isabelle Weingarten (Gilberte), Jacques Renard (l’ami d’Alexandre), Jessa Darrieux (la fille avec un pansement), Berthe Grandval (l’amie de Marie), Geneviève Mnich (l’amie de Véronika), Jean-Noël Picq (l’amateur d’Offenbach), Jean Douchet (l’homme du Flore), Jean Eustache (le mari de Gilberte, l’homme aux lunettes noires dans le magasin d’alimentation), Noël Simsolo (l’intellectuel), Pierre Cottrell (l’ami de Maurice), Bernard Eisenschitz (Maurice), Marinka Matuszewski, André Téchiné, Caroline Loeb, Jean-Claude Biette.

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Directeur de production : Pierre Cottrell.

Production : Elite Films, Ciné Qua Non, Les Films du Losange, Simar Films, V. M. Productions.

Distribution : NEF Diffusion.

Présentation aux Festivals : en mai 1973, la Compétition au Festival de Cannes : en juin-juillet 1973, Internationales Forum des jungen Films, Internationale Filmfestspiele Berlin : en septembre 1973, New York Film Festival.

Sortie : 17 mai 1973.

Récompenses : Grand prix spécial du jury et Prix de la critique internationale, Festival international de Cannes, 1973.

Le film est dédié à Catherine Garnier.

Mes petites amoureuses

1974 / 123 min / 35 mm / Couleurs.

Réalisation, scénario, dialogues : Jean Eustache.

Image : Nestor Almendros, assisté de Jean-Claude Rivière, Dominique Le Rigoleur.

Son : Bernard Aubouy, Bernard Ortion.

Mixage : Bernard Aubouy, Nara Kollery.

Assistants réalisateurs : Luc Béraud, Bertrand Van Effenterre, Denys Granier-Deferre, Alain Centonze.

Montage : Jean Eustache, Françoise Belleville, Alberto Yaccelini, Vincent Cottrell.

Scripte : Irène Lhomme, Danièle Desouches.

Costumes : Renée Renard.

Régie : Armand Barbault, Louis Seuret.

Assistant stagiaire : Boris Eustache.

Photographe de plateau : Pierre Zucca, Bernard Prim.

Conseiller technique : Mr. Jack Daniel.

Directeur de production : Pierre Cottrell.

Production : Elite Films.

Interprétation : Martin Loeb (Daniel), Ingrid Caven (sa mère), Jacqueline Dufranne (sa grand-mère), Dionys Mascolo (José), Henri Martinez (Henri, le patron de l’atelier), Pierre Edelman (Louis, l’homme à la moto), Patrick Eustache (le garçon qui entre en 6e), Marie-Paule Fernandez (Françoise, la jeune fille avec qui flirte Daniel), Jean-Noël Picq (un ami du patron de l’atelier), Maurice Pialat (l’homme qui fait réciter son alphabet à Daniel), Jacques Romain, Vincent Testanière, Roger Rizzi, Anne Stroka, Cirque Müller, Syndra Kahn, Jean-Jacques Binan, Chislaine Lakomy, Brigitte Pangand, Michèle Deboutet, Claire Treille, Louis Caut, Jean-Claude Gasche, 312Félicia Ferguson, Marie-Hélène Foissier, Philippe Cyiuriu, Alain Dumas, Aissa Ihamouine, Ernest Simo, Jean-Louis Damani, Christian Lacot, Hilaire Arasa, Michel Almadouar, Caroline Loeb, Fabienne Dorey, Sandra Sabine.

Extrait du film Pandora de Albert Lewin avec Ava Gardner, James Mason et Nigel Patrick.

Chanson interprétée par le chœur des petites filles : Le Petit Grégoire de Théodore Botrel.

Chanson du générique : Douce France de Charles Trenet.

Distribution : AMLF.

Sortie : 18 décembre 1974.

Présentation aux Festivals : en mars 1975, Los Angeles Exposition Film Festival Filmex ; en juillet 1975, Festival international du film de Moscou ; en juin 1977, Festival international du flm de Hong Kong.

Le film est dédié à Odette et Louis Robert.

Une sale histoire

Première Partie : Une sale histoire

1977 / 27 min / 35 mm / Couleurs.

Réalisation, scénario, dialogues : Jean Eustache (d’après une histoire de Jean-Noël Picq).

Image : Jacques Renard, assisté de Jean-Noël Ferragut, Jacques Steyn.

Son : Roger Letellier.

Montage : Jean Eustache, Chantal Colomer.

Scripte : Claude Luquet.

Assistants réalisateurs : Élisabeth Couturier, Bertrand Van Effenterre.

Photographe : Dominique Le Rigoleur.

Interprétation : Michael Lonsdale (le narrateur), Jean Douchet (le metteur en scène), Douchka, Laura Fanning, Josée Yann, Jacques Burloux (les auditeurs-interlocuteurs).

Production : Jean Eustache, pour les Films du Losange.

Deuxième Partie : Une sale histoire racontée par Jean-Noël Picq

1977 / 22 min / 16 mm / Couleurs.

Réalisation : Jean Eustache.

Image : Pierre Lhomme, Michel Cenet.

Son : Bernard Ortion.

Montage : Jean Eusatche, Chantal Colomer.

Assistans réalisateurs : Luc Béraud, Bertrand Van Effenterre.

Interprétation : Jean-Noël Picq, Elisabeth Lenchener, Françoise Lebrun, Virginie Thévenet, Annette Wademant, Jean Eustache.

Production : Jean Eustache, Pierre Cottrell.

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Sortie : le 9 novembre 1977.

Première séance : le 10 octobre 1977, à Österreichisches Filmmuseum Wien (Autriche).

Présentation aux Festivals : en décembre 1977, Festival cinématographique de Paris ; en février-mars 1978, Internationales Forum des jungen Films, Internationale Filmfestspiele Berlin.

La Rosière de Pessac 79

1979 / 67 min / 16 mm / Couleurs.

Réalisation : Jean Eustache.

Image : Robert Alazraki, Jean-Yves Coïc, Armand Marco, Philippe Théaudière, assistés de Florent Bazin, Patrick Beraux, Michel Thiviet, Caroline Champetier, Françoise Manceaux.

Son : Gérard Barra, Bruno Charier, Gérard de Lagarde, Georges Prat.

Montage : Jean Eustache, Chantal Colomer.

Mixage : Dominique Hennequin.

Chef électricien : Guy Vetois.

Régisseur général : Olivier Lacamp.

Assistant stagiaire : Boris Eustache.

Avec : Les habitants de Pessac.

Production : I.N.A., Z.D.F. (Zweites Deutsches Fernsehen), Mediane Films.

Diffusion télévisée : le 7 décembre 1979 sur la chaîne 2, dans le cadre de la collection Ciné club (le 14 décembre, la version de 1968, Rosière de Pessac, est diffusée dans la même collection).

Présentation aux Festivals : en 1979, Festival international du court métrage de Lille ; Journées cinématographiques – Art et Essai – Cinéma et Télévision – d’Orléans.

Le film est dédié à Douchka Arbatchewsky.

Odette Robert

1980 / 54 min / 16 mm / Noir et blanc.

Réalisation, montage : Jean Eustache.

Image : Philippe Théaudière (intérieurs), Adolpho Arrietta (extérieurs).

Son : Jean-Pierre Ruh.

Avec : Odette Robert, Jean Eustache, Boris Eustache.

Production : I.N.A., TF1.

Diffusion télévisée : le 21 juillet 1980 sur TF1 dans le cadre de la série Grands-mères de Jean Frapat.

Le film est la version raccourcie de Numéro zéro (1971).

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Le Jardin des délices de Jérôme Bosch

1980 / 34 min / 16 mm / Couleurs.

Réalisation : Jean Eustache.

Directeur de la photographie : Philippe Théaudière.

Image : Nichel Davaud, Jacques Pamart, Dominique Forgue, Alain Salomon.

Son : N’Guyen Van Thuong, Xavier Vautrin.

Éclairage : Yvan Martin, Claude Pezet, Georges Bordier, Gérald Simonin.

Montage : Jean Eustache, Martine Voisin.

Interprétation : Jean-Noël Picq, Sylvie Blum, Catherine Nadaud, Jérôme Prieur.

Collaboration artistique : Cati Couteau.

Production : Vincent Clavé, Monique Villechenoux.

Prodcteur délégué : I.N.A., Antenne 2.

Diffusion télévisée : 13 avril 1981 sur Antenne 2 dans le cadre de la série Les Enthousiastes de Jean Frapat.

Offre d ’ emploi

1980 / 20 min / 16 mm / Couleurs.

Réalisation : Jean Eustache.

Scénario : Jean Eustache, Sylvie Durastanti.

Directeur de la photographie : Philippe Théaudière.

Image : Maurice Perrimond, Alain Salomon.

Son : Jean-Claude Brisson.

Scripte : Claude Luquet.

Assistant réalisateur : Richard Malbequi.

Interprétation : Michel Delahaye (le demandeur d’emploi), Michèle Moretti (la graphologue), Jean Douchet (le directeur), Rosine Young (sa collaboratrice), Bertrand Van Effenterre (son collaborateur), Noël Simsolo, Boris Eustache (les demandeurs d’emploi dans la salle d’attente).

Atelier de production : Monique Villechenoux, Françoise Buresi.

Producteurs délégués : Pascale Breugnot et Marcel Teulade.

Producteur exécutif : I.N.A.

Production : Antenne 2.

Diffusion télévisée : le 16 mars 1982 sur Antenne 2 dans le cadre de la série Contes Modernes de Pascale Breugnot et Marcel Teulade.

Les Photos d ’ Alix

1980 / 20 min / 35 mm / Couleurs.

Réalisation : Jean Eustache.

Image : Robert Alazraki, Caroline Champetier.

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Son : Bruno Charier.

Montage : Jean Eustache, Chantal Colomer.

Interprétation : Alix Cléo Roubaud, Boris Eustache (Martin Chaussin, Jean Eustache pour les mains).

Production : Mediane Films, O.C.C. (Office de la Création Cinématographique).

Diffusion télévisée : le 19 janvier 1982 sur Antenne 2 dans le cadre de la série Histoires courtes.

Présentation aux Festivals : en 1981, Festival international du court métrage de Lille ; en 1982, Festival des films du monde de Montréal.

Récompenses : César du meilleur court métrage de fiction, 1982 ; Grand prix de Montréal, Festival des films du monde de Montréal, 1982.

COLLABORATIONS

Assistant

Le Mannequin de Belleville de Jean Douchet, 1962, 16 min.

La Boulangère de Monceau de Eric Rohmer, 1962, 23 min.

Les Roses de la vie de Paul Vecchiali, 1962, 20 min.

(Saint-Germain des Prés de Jean Douchet, une épisode du film à sketches Paris vu par…, 1965, 18 min. Eustache assite au tournage pour l’observer.)

(L’Authentique Procès de Carl-Emmanuel Jung de Marcel Hanoun, 1966, 80 min. Eustache assiste au tournage pour l’observer.)

Monteur

Dedans Paris de Philippe Théaudière, 1964, 20 min.

Les Taches de Raymonde Baudry-Delahaye, 1964, 20 min.

Octobre à Madrid de Marcel Hanoun, 1964, 60 min.

Ecco ho letto de Jean-Claude Biette, 1966, 15 min.

Jean Renoir le patron de Jacques Rivette, 1966-1967, 246 min.

Les Idoles de Marc’O, 1967, 105 mn.

L ’ Accompagnement de Jean-André Fieschi, 1967, 25 min.

Au pays natal, de Paul-Louis Martin, 1969, 70 min.

Une aventure de Billy le Kid de Luc Moullet, 1970, 100 min.

Aussi loin que mon enfacne de Marilù Paolini, 1970, 25 min.

Le Grand chien noir de Jean-Marie Nadaud, 1971, 27 min.

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Acteur

La Boulangère de Monceau de Eric Rohmer, 1962, 23 min.

Les Roses de la vie de Paul Vecchiali, 1962, 20 min.

Les Cœurs verts de Édouard Luntz, 1966, 88 min.

Weekend de Jean-Luc Godard, 1967, 95 min.

Céline et Julie vont en bateau de Jacques Rivette, 1973-1974, 193 min.

Vincent mit l ’ âne dans un pré de Pierre Zucca, 1976, 107 min.

Der amerikanische Freund (L’Ami américain) de Wim Wenders, France, Allemand, 1977, 127 min.

La Tortue sur le dos de Luc Béraud, 1978, 110 min.

Co-scénariste

Aussi loin que mon enfacne de Marilù Paolini, 1970, 25 min.

FILMS SUR ET AUTOUR
de Jean Eustache

À Jean Eustache de Milena Gabanelli, Italie, 1982, 15 min.

La Peine perdue de Jean Eustache de Angel Díez, 1997, 55 min.

Enfance d ’ un cinéaste de Alain Bergala, 2004, 19 min.

Bande Eustache : Jean qui pleure et Jean qui rit de Jean-André Fieschi, 1981-2007, 16 min.

Le Temps des amoureuses de Henri-François Imbert, 2008, 83 min.

2ème Exercice d ’ admiration : Jean Eustache de Vincent Dieutre, 2008, 21 min.

ADAPTATIONS THÉÂTRALES
de l’œuvre de Jean Eustache

La Maman et la putain

1990 / Adaptation d’après le film homonyme.

Mise en scène : Jean-Louis Martinelli.

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Interprétation : Catherine Anne, Gérard Barreaux, Charles Berling, Anouk Grinberg, Marie Matheron, Sylvie Milhaud.

Production : Théâtre Sorano (Toulouse), Théâtre de Lyon (Lyon).

Une sale histoire

1991 / Adaptation d’après le film homonyme et le projet inachevé La Rue s’allume.

Mise en scène : Jean-Louis Martinelli.

Interprétation : Charles Berling, Jean-Marc Bory, Jean-Louis Martinelli, Gérard Barreaux, Sylvie Milhaud, Christine Vézinet.

Production : Théâtre Ouvert (Paris), Théâtre de Lyon (Lyon).

L ’ Oiseau des vacances

1995 / Adaptation d’après Une sale histoire.

Mise en scène : Jean-Louis Martinelli.

Interprétation : Gérard Barreaux, Charles Berling, Jean-Marc Bory, Sylvie Milhaud, Christine Vézinet.

Production : Théâtre National de Strasbourg.

Le Lieu du crime

2003 / Adaptation d’après Une sale histoire et Le Jardin des délices de Jérôme Bosch.

Mise en scène : Frédéric Poinceau.

Interprétation : Valère Habermann, Olivier Horeau, Fabrice Michel, Frédéric Poinceau, Sandrine Rommel.

Production : Compagnie Les Travailleurs de la Nuit (Marseille), Théâtre de la Minoterie (Marseille).

La Maman et la putain

2007 / Adaptation d’après le film homonyme.

Mise en scène : Olivier Rey.

Interprétation : Magali Bonat, Mahaut d’Arthuys, Carl Miclet, Sylvain Boll-Redat, Marianne Pommier.

Production : Théâtre Les Ateliers (Lyon).

Je me mets au milieu mais laissez-moi dormir

2008 / Adaptation d’après La Maman et la putain.

Mise en scène : Dorian Rossel.

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Interprétation : David Gobet, Dominique Gubser, Delphine Lanza, Anne Steffens.

Production : Cie STT (Super Trop Top), Théâtre Arsenic (Lausanne), La Bâtie (Genève).

Une sale histoire

2010 / Adaptation d’après le film homonyme.

Mise en scène : Sébastien Lange.

Interprétation : Séverine Astel, Caroline Bertin, Michel Mathieu, Alex Moreu, Antonio Scarano.

Production : STUNT, Le Ring (Toulouse).

Moment d ’ absence

2011 / Adaptation d’après l’ensemble des films de Jean Eustache.

Chorégraphie : Cécile Loyer.

Danse : Cécile Loyer, Éric Domeneghetty.

Production : CCNO (Orléans), La Pratique (Vatan).

Nos serments

2014 / Adaptation d’après La Maman et la putain.

Mise en scène : Julie Duclos.

Texte : Julie Duclos, Guy-Patrick Sainderichin.

Interprétation : Maëlia Gentil, David Houri, Yohan Lopez, Magdalena Malina, Alix Riemer.

Production : Compagnie L’In-quatro (Paris), Centre dramatique national Besançon Franche-Comté (Besançon), La Colline (Paris), CDN Orléans/Loiret/Centre (Orléans), Le Mail (Soissons), MA Scène nationale (Montbéliard), Les Célestins (Lyon), Le Poche-Genève (Genève).

ÉDITIONS DVD

Jean Eustache Collection Vol. 1 : La Maman et la putain, Tokyo, Kinokuniya-shoten, 2002.

Jean Eustache Collection Vol. 2 : Les Mauvaises Fréquentations, Le Père Noël a les yeux bleus, Une sale histoire, Les Photos d ’ Alix, Tokyo, Kinokuniya-shoten, 2002.

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Jean Eustache Collection Vol. 3 : Mes petites amoureuses, Tokyo, Kinokuniya-shoten, 2002.

Le Jardin des délices de Jérôme Bosch, Offre d ’ emploi, supplément DVD à la revue Cinéma 06, automne 2003.

Mes petites amoureuses, SCÉREN-CNDP, coll. « L’Eden CINEMA », 2005.

Une sale histoire, suivie de Le Jardin des délices de Jérôme Bosch, Potemkin, 2016.