Résumé : Le paysage italien est modelé par le temps. Le point commun à toutes les œuvres envisagées (de Stendhal à Giorgio Bassani, et bien d’autres), c’est cette imbrication de la terre italienne et du récit. On parle de descente en soi, révélant, sur l’infini de l’épopée humaine, un profil existentiel singulier.