Résumé : L’iconographie des scènes de présentation au xve siècle est ici interrogée à un triple niveau : en référence au contexte curial de production et de diffusion qu’elle reflète en partie ; selon la scène d’énonciation qu’elle construit de concert avec le texte ; comme objet d’une scénographiemanuscrite dont elle participe avec d’autres paramètres matériels. Sous les invariants iconiques se cache en réalité une grande plasticité sémantique, illustrant les rapports entre littérature et rhétorique.