Résumé : Cet article analyse les rapports entre identité, mémoire et lieu au travers de l’espace récurrent, fondamental et fondateur qu’est le Japon et des problématiques de l’identité et des (ré)écritures du moi chez Amélie Nothomb, dans sa tentative de surpasser la « nostalgie triste » à l’occidentale afin d’atteindre la « nostalgie heureuse » japonaise [natsukashii].